Les (Més)Aventures DUn Hétéro (4)
Voilà plusieurs fois que je me réveille : je prends un plaisir voluptueux à profiter de ma grasse matinée, puis je replonge. Petit à petit, malgré tout, jémerge physiquement et mentalement. Je prends conscience de la situation. Je suis dans le lit de Sébastien, après une soirée et une nuit mémorables. Sébastien, un vieux copain, ma tout simplement baisé à quatre reprises, ma sodomisé dans toutes les positions, et je ne lui ai opposé aucune résistance. Jessaie de comprendre comment jen suis arrivé là, mais je ny arrive décidément pas. Tout ce que je ressens, cest du désordre dans mes idées, une certaine honte, pas mal de bien-être et un peu de douleur au niveau de mon cul
Bref, beaucoup de confusion.
Sébastien nest pas là, jentends leau couler dans la douche et il fredonne je ne sais quoi. Sacré Sébastien ! Dun côté je lai « à la bonne » (il ma fait découvrir des trucs et ma quand même sacrément fait jouir, ce salaud !), mais dun autre je lui en veux terriblement car jai un sentiment de honte qui remonte en moi : je suis hétéro, jadore baiser des nanas et les pénétrer, jouer un rôle actif et conquérant,
Du coup, je me sens plutôt mal dans ce rôle de salope qui se fait enculer de toutes les façons possibles.
Jen suis là de mes réflexions quand Sébastien arrive dans la chambre. Il vient de sortir de la douche et est donc en train de sessuyer. Il arrive nu, sans pudeur, apparemment de bonne humeur et souriant. Son sexe a des dimensions respectables. Il vient de bander ou il commence à le faire, difficile à dire
- « Tiens, salut la marmotte ! Bien dormi ? »
Je grommelle un « Oui, oui, ça va
», mais je nai pas vraiment envie dêtre guilleret et enjoué. Je repense encore à ce qui sest passé cette nuit, et je lui en veux quand même pas mal. Il ma carrément violé sans sommation, et le fait de mavoir fait jouir ne lexcuse pas. Comme sil lisait dans mes pensées, il me dit :
- « Tu vas te faire des idées sur moi, mais je tassure, ce qui sest passé cette nuit est inhabituel pour moi.
Effectivement, tout en continuant à sessuyer, Sébastien se tripote un peu et je vois sa queue qui commence à nouveau à se dresser. Je nen reviens pas : il ma ramoné quatre fois depuis hier, il a éjaculé à chaque fois et il recommence à avoir la trique. Ce type est un obsédé de la queue ! Lémulation fait son effet. En le voyant se toucher le sexe et recommencer à bander, je suis moi-même troublé et je sens un frémissement dans mon bas-ventre. Mais non, je ne vais pas rejouer la même partition, quand même ! Jai encore le cul en feu de mêtre fait limer pendant une éternité, et je nai pas lintention de recommencer. Je suis plutôt en colère, même si cette situation me trouble : Sébastien, nu devant moi et en train de bander me donne des idées. Je le vois qui jette un coup dil furtif vers la table de nuit et je comprends en un instant ce quil a dans la tête. Il y a un tube de lubrifiant sur le chevet et je suppose quil a lintention de menculer une fois de plus. Mais jai compris son jeu et je ne vais pas le laisser faire, cette fois.
- « Tu vois leffet que tu me fais !? Dans quel état tu me mets ? Tu naurais pas une idée pour me sortir de cette situation ? »
Un vrai salaud et un manipulateur, il ny a pas de doute. Il prend les choses à la légère, il détend latmosphère en plaisantant, mais si je ny prends pas garde, je vais encore me retrouver à quatre pattes avec une bite dans le cul. Je le vois comme si jy étais, et le pire, cest que ça mexcite
Non, cest hors de question, il faut que je trouve une solution. Et puis tout à coup, il me vient une idée. Après tout, pourquoi je nessaierais pas moi aussi de piéger Sébastien à son propre jeu ?
- « Tiens, viens, approche-toi, jai une idée pour ton problème.
Incrédule et interrogatif, Sébastien sapproche du lit. Moi, je me redresse un peu sur un coude.
- « Assieds-toi là
»
Sébastien sexécute, curieux et motivé. Il sassoit au bord du lit. Maintenant, sa queue est très près de moi, alors, dans un geste tout ce quil y a de naturel, je le prends dans ma main et commence à le masturber calmement. À mon tour de prendre les choses à la légère, de plaisanter et de mener le jeu.
- « Mmmm
dis-donc, on dirait que tu frétilles de la queue, tu nen as donc jamais assez ? »
Sébastien ne dit mot, il se laisse faire. Apparemment, il nen espérait pas tant et très vite il se concentre sur les sensations que je lui procure. Moi, de mon côté, jai une idée de vengeance en tête mais je ne suis pas pressé, je profite de linstant présent. Cest la première fois que je branle un mec, et, finalement, cest assez excitant. Le savoir à ma merci, le sentir grandir, grossir, se dresser et durcir dans ma main ; et puis sa respiration qui saccélère, lexcitation presque palpable qui monte,
Il se régale et, finalement, moi aussi.
- « Allez, détends-toi, allonge-toi, je vais bien moccuper de toi, tu vas voir
»
Sébastien mobéit à nouveau et sétend sur le dos. Ça me plait bien, ce nouveau renversement de situation. Cest moi qui mène le jeu, qui décide, qui prends linitiative. Cest lui qui est soumis, qui subit, qui attend. Ça mexcite même beaucoup
- « Dis-donc, on dirait que tu as perdu la parole, tu ne dis plus rien
»
- « Je te laisse faire, cest trop bon
Continue, ça me plait
»
Je continue, donc, et jessaie de lui rendre la pareille, de trouver ce rythme très lent et sensuel quil ma lui-même infligé. Cest pas trop mal, apparemment. Il ferme les yeux, respire plus vite, soupire,
Je pense en moi-même : « Cochon, tu nas encore rien vu, je nai pas fini
». Je me décide tout à coup et me penche vers son sexe. Jy pense depuis un bout de temps et je me dis quil faut essayer ça une fois dans sa vie : je le prends dans ma bouche.
- « Ohhhh
Ouiii
. Mmmm
»
Pas besoin de discours, jai compris que ça lui faisait de leffet. Du coup, je me sens excité et je bande moi-même de plus en plus. Je rentre dans un état où son excitation alimente la mienne : plus je le suce, plus je le fais gémir et plus je bande. Jai une gaule terrible et bien lintention de men servir, mais je veux dabord être sûr que Sébastien ne me résistera pas. Cest pourquoi je fais durer, je varie, je multiplie les initiatives : les lèvres, la langue, des va-et-vient bien mouillés, des caresses sur les couilles, une prise en main et une masturbation de sa tige, en faisant bien évidemment attention de ne pas le toucher avec mes dents. Je suis fier de moi et je me mets à penser que pour ma première pipe, je dois me débrouiller mieux que beaucoup de femmes. Dailleurs, qui dautre quun homme peut deviner si vite comment réussir une bonne fellation ? Ce nest pas Sébastien qui me contredira, car visiblement, il monte fort :
- « Mmmmm
Tu suces trop bien
Jadore, oh, oui, continue, cest bon
. »
Je décide daller plus loin, je vais lui placer lestocade : je me mets un doigt dans la bouche, je le mouille abondamment et décide de partir à laventure. Je cherche son petit trou, le trouve assez vite et commence à lui exciter la rondelle. Je minspire de ce quil ma fait subir et je maperçois vite que mon inexpérience ne pose pas vraiment problème, car Sébastien gémit de plus belle et remue du croupion. Je décide alors dêtre plus offensif et lui rentre mon doigt dans le cul. Très drôle, comme sensation : cest très serré et pourtant il souvre à moi et me laisse passer. Je commence un petit va-et-vient qui visiblement lui plait. Je crois quil est mûr, mais je vais quand même faire durer un peu, le rendre un peu plus soumis et impatient.
Quelques minutes se passent ainsi, je mapplique à le sucer et à le doigter du mieux que je peux. Je suis à la fois excité et inquiet, je me demande si je vais réussir à le sodomiser à mon tour. Pour ce qui concerne létat de ma queue, pas de problème, jai une bonne trique et compte bien men servir, mais je nai jamais pratiqué la sodomie (enfin, activement). Jai peur de ne pas y arriver.
Bon, allez, je me lance. Je tends ma main vers le tube de gel que jai repéré tout à lheure. Heureusement, jarrive à le dévisser dune main pendant que je continue à sucer et doigter Sébastien. Par contre, pour mappliquer du gel sur le doigt, cest plus compliqué. Jy mets mes deux mains, voilà, vite fait bien fait et maintenant je recommence à lui rentrer un doigt, mais là, ça glisse super bien
Putain, ça commence à me plaire, cette histoire. Je suis bien décidé à lui faire subir tout ce que jai moi-même enduré cette nuit. Il commence à se trémousser comme une chienne, lui aussi, jai limpression que je suis sur la bonne voie. Maintenant, je lui mets deux doigts dans le cul, puis très vite trois. Cest vrai que cest un peu plus tendu, mais on y arrive et il a vraiment lair dapprécier. Je lentends gémir de plus belle. Ma salope, tu nas pas encore tout vu
Il faut que jy arrive, et vite si possible, pour quil nait pas trop le temps de réaliser ce qui lui arrive. Je cesse de le sucer, je retire mes doigts de son cul, je me mets en position. Accroupi face à lui, les jambes écartées, je le prends sous les genoux, je rapproche mon bassin, je minstalle, lui soulève le bassin, approche ma queue. Cest bon, cest tout bon, il se laisse faire
Il ouvre les yeux et me regarde dun air interrogatif. Il doit bien avoir compris mon intention, quand même ! Je suis entre ses jambes, je guide ma queue vers son petit trou, ça y est, je suis dessus. Je me sens super excité, je vais lenculer et ça me plait plus que je ne me limaginais. Je suis sur sa rondelle, mon gland bien calé et je commence à pousser. Je regarde Sébastien sans un mot. Cest un drôle déchange et nos regards valent tous les discours. Jai envie de lui dire combien ça me plait de lui rentrer ma bite dans le cul mais je ne dis rien, je me contente dagir. Je pousse un peu plus. Mmmmm, je sens que ça glisse, son cul est serré mais il souvre un peu, je prends ses jambes sous les genoux et je les écarte bien. Oui, ça y est ! Mon gland passe la barrière du sphincter et je lencule dun coup. Sébastien pousse un petit « Ouuuh ! » évocateur qui me plait. Ma salope, maintenant cest toi qui est au bout de ma queue et je vais en profiter au maximum. Ma bite profondément enfoncée en lui, je marrête un peu et savoure ce moment. Je reste immobile quelques instants, puis je me décide à le limer tout doucement. En fait, je vais reproduire à la lettre tout ce quil ma fait subir. Il y a donc du travail, et jai intérêt à être endurant, parce quil ma baisé quatre fois alors que moi, je nai droit quà un essai.
Pour linstant, nous ne parlons ni lun ni lautre. Quelques soupirs, des regards. Je le lime lentement, je rentre et sors de son cul avec douceur et volupté. Jadore ! Son cul serré me comprime la queue et ça maintient mon excitation au maximum. Jai limpression que ma queue est dure comme une barre à mines. Je me sens des ailes de conquérant. Jexplore mon nouveau terrain de jeu. Je le tiens sous les genoux et jimprime mon rythme. Je nimaginais pas à quel point ça pouvait être excitant de baiser un mec. Le corps de Sébastien à ma merci, jen fais ce que je veux, je le ramone tranquillement, je lui inflige des va-et-vient avec de plus en plus de confiance et de plaisir. Quant à lui, il continue de bander comme un âne. Jai beau le tringler depuis plusieurs minutes maintenant, il continue à avoir la gaule, preuve quil aime ça. Dailleurs, ses soupirs deviennent des gémissements. Moi aussi je vais te faire gueuler, tu vas voir !
La position est un peu fatigante, mais je tiens bon. Sa queue qui bande, ses petits cris et son regard en disent long. Oui, mon chou, cest moi qui te baise maintenant et je te veux à ma disposition. Plus je le ramone et plus je le sens soumis, incapable de réaction. Cest moi qui mène le jeu et je me rends bien compte quil commence à jouir pour de bon, et plus il jouit, moins il semble en mesure de me résister. Je continue encore un peu mais jai maintenant envie de changer. Cest le bon moment, Sébastien est à ma merci et ne me résistera pas. Jessaie de trouver une position plus confortable. Jai trouvé, je pense que ça va marcher : je tire Sébastien vers le bord du lit, et, très vite pour ne pas rompre le charme de linstant, je me retire de son cul, me mets à genoux au bord du lit, puis le tire à moi et lencule à nouveau, mais cette fois-ci je mets ses jambes sur mes épaules, comme ça je suis super confortable et jai les mains libres.
- « Ah, salaud ! Tu remets ça
»
Oh, oui, mon vieux, je remets ça. Et cette fois-ci, je vais pouvoir te limer et te branler. Aussitôt pensé, aussitôt en action : je le prends en main, le branle et lobserve en même temps. Je joue de ma queue et de mes mains. Jai vraiment limpression que ça ajoute un plus, parce quil ferme les yeux et couine de plus belle. Jalterne les passages lents et les moments plus hard suivant linspiration. À certains moments, je le tiens par les hanches et accentue mon mouvement de va-et-vient ; à dautres, je me concentre sur la façon de le branler et de le limer, bien lent, ample, profond ; à dautre encore, je le pilonne comme une brute en lui tenant la queue à deux mains comme si je voulais le traire. Dans ces moments, il pousse des cris et moi aussi. Putain, ça devient carrément de la sauvagerie, mais à ce rythme, on ne va pas durer longtemps
Encore plusieurs minutes de ce traitement, et puis je me sens tout à coup presque au bout du rouleau, jai encore envie de changer, jai encore envie de le baiser mais autrement. Je le bascule de côté au bord du lit, mais sans sortir ma queue de son cul. Il est allongé sur le côté, il me tourne le dos et moi je suis toujours à genoux derrière lui. Je le besogne pendant quelques temps comme ça. Cest vraiment trop bon de le limer ainsi dans toutes les positions et d'en faire ma chose. Tout ça me redonne de la vitalité, mais je commence à avoir mal aux genoux à cause de la moquette, alors jessaie un nouveau truc : je le pousse vers le centre du lit, il est allongé sur le côté et me tourne le dos. Je me mets derrière lui, allongé sur le côté moi aussi, et je lencule à nouveau. Je suis maintenant dans son dos et jai toujours ma bite plantée dans son cul. Je suis super confortable et je le tiens par les hanches. Je tai bien en main, mon gars, et je vais te bourrer comme il faut. Je me décide à accélérer la cadence, à le pénétrer bien à fond et de plus en plus vite. Je lui inflige des coups de piston de plus en plus violents. Je passe une main devant pour lui tenir la queue : oui, ce salaud a une trique denfer pendant que le baise, et ça fait une éternité que ça dure, il ny a pas de doute, il adore ! Évidemment, je me sens dautant plus excité et motivé et je continue de plus belle. Jai un rythme de fou et jentends ses cris de plaisir et de soumission. Ma queue va exploser, cest trop bon ! Mais non, ce nest pas possible, il faut que je tienne encore un peu, je nen ai pas fini avec lui. Je souffle un peu, je le mets sur le ventre tout en basculant sur lui. Nous sommes lun sur lautre, comme deux crêpes. Je ne compte pas marrêter là et marrange pour quil relève son croupion et se mette à quatre pattes. Génial ! Le voilà qui se laisse faire, il est en levrette, cambré comme une belle salope qui en redemande et moi je suis toujours avec ma bite dans son cul. Jai un peu molli, mais cette nouvelle position mexcite tellement que je ne tarde pas à retrouver de la vigueur. À chaque fois que je change de position, je retrouve du confort et de lexcitation ; jai limpression quil est ma chose, ma salope, mon terrain de jeu
Cest bon, la boucle est bouclée et je vais pouvoir le finir en levrette comme une vraie femelle. Je suis maintenant à genoux, Sébastien à quatre pattes, bien cambré pendant que je le besogne calmement pour bien profiter de cette dernière ligne droite. Oh, que cest bon, cette fois cest moi qui lencule devant la glace et cest vrai que cest prodigieusement excitant comme revanche. Jai du mal à tenir, je ralentis pour ne pas éjaculer, je sens que ça va venir, mais il faut que je finisse ce que jai prévu. Je marrête, puis repars doucement, profondément
Je retrouve cette excitation qui monte, qui monte
Non, cest pas possible, jen peux plus, il faut décidément que je le bourre comme une chienne. Je me décide enfin pour le baroud dhonneur, je le lime de plus en plus violemment, profondément, bestialement. Jai envie de le faire gueuler et maintenant cest avec frénésie que je lencule. Je me lâche complètement, lui tiens les hanches, lui caresse les fesses, le chevauche et lui mets des claques, puis, finalement, à bout, jexplose dans un orgasme foudroyant, bloqué contre lui dans un long cri pendant jéjacule dans ses entrailles. Jai limpression que je lai baisé pendant une heure, je nen peux plus, je suis vidé et je meffondre contre lui avant de me séparer finalement et de mécrouler sur le lit, allongé sur le dos, pour reprendre mon souffle.
Je sens que Sébastien bouge à côté de moi, il se rapproche pour me dire doucement :
- « Pas mal, pas mal, mon vieux
Mais, ce nest pas fini, tu sais
»
Jouvre les yeux et le regarde, interrogatif.
- « Comment ça ? »
- « Eh bien, quand tu baises un mec, il faut aller au bout ... »
- « ?
»
Je nai pas vraiment le temps de répondre, et, de toute façon, je ne sais pas quoi dire. Sébastien sagenouille près de moi, me caresse le ventre (pas désagréable), descend sur mes cuisses, entre mes jambes. Puis, assez rapidement, il sinstalle assis sur ses genoux, les jambes écartées, la queue fièrement dressée, et commence à me tirer vers lui.
- « Mais
Quest-ce-que tu fais ? »
- « À ton avis ? »
Tout en disant ça, il sest déjà installé entre mes jambes et semble se mettre en position pour
Pour quoi au juste ? Je réalise tout à coup quil est tout simplement sur le point de me sodomiser à son tour !
- « Non, attends, pas ça, jen peux plus
»
- « Toi peut-être, mais moi, ça va très bien, je tassure ! »
Je suis tellement abasourdi que je ne réagis pas. En fait, pour moi tout est fini, mais Sébastien ne lentend pas ainsi et, avant que jaie le temps de réaliser ce qui se passe, il est déjà prêt, sa bite raide et décalottée cherchant dans ma raie un passage pour menfiler. Efficace et rapide, il me met un peu de gel sur la rondelle et commence tout simplement à me rentrer sa bite dans le cul ! Je suis si détendu après mon éjaculation et si loin dimaginer ça possible que je me fais enfiler tranquillement, en douceur et presque par surprise
- « Aahhhh ! Non, cest pas possible, je ten prie, arrête ! »
Incroyable ! Sébastien est en train de me sodomiser, et pour la cinquième fois maintenant ! La seule différence, cest que je suis complètement ramolli et pas du tout excité, mais jai quand même un braquemard planté dans mon cul et qui ne semble pas vouloir en sortir. Sébastien est assis sur ses talons entre mes cuisses je commence à connaître cette position ! et il reste immobile. Nous sommes tous les deux confortablement installés, et tout serait finalement assez ordinaire si je navais pas son sexe enfoncé en moi. Après de longues secondes, Sébastien se décide à rompre cette immobilité, il bouge légèrement comme sil en était aux préliminaires « soft » : le monde à lenvers ! Il passe ses mains doucement sur mon torse, mon ventre, mes flancs, mes cuisses. Il me caresse un peu partout avec cette douceur si caractéristique que je commence à connaître. Je préfère ça, car je ne me sens aucune envie de brutalité ou dagitation. Je frissonne un peu, je sens comme des chatouilles. Sébastien samuse avec moi pendant quelques minutes comme pour me faire oublier quil a toujours sa bite plantée dans mon cul. Moi, je suis trop content de rester immobile et, ma foi, ce quil me fait nest pas trop désagréable, mais malgré tout, je me demande où il veut en venir.
Je ne tarde pas à comprendre : Sébastien, entre deux effleurements doux, me donne par ci, par là un petit coup de reins et je sens sa queue qui me pénètre un peu plus avant de se retirer à nouveau. Mais oui, il y va tout doucement et très progressivement pour ne pas meffaroucher, mais le but est clair : il veut tout simplement me limer à son tour. Plusieurs minutes passent ainsi en pseudo caresses et mini chatouilles, en petits coups de queue timides et coquins. Cest vrai que je ne bande pas, mais dun autre côté, jai des sensations intéressantes et plutôt agréables, notamment dans mon cul : cest sensuel, doux,
Je ne peux quand même pas ignorer ce qui mattend : il va encore me faire le coup du tout doucement dabord pour finir pas une sodomie brutale. Je ne me sens pas du tout prêt à ça et pourtant je le laisse faire. Comme les fois précédentes, cest le plaisir de linstant dun côté et la curiosité de lautre qui me rendent si passif et complaisant. Et puis, après ce qui sest passé, est-ce que je peux encore me permettre de jouer les indignés ? Donc, une fois de plus, je me laisse faire, jécoute linstant qui passe, son lot de sensations et de surprises
Longtemps, longtemps, Sébastien continue son petit jeu. Entre ses effleurements, ses caresses et sa douce pénétration, il essaie de réveiller en moi un désir éteint. Éteint ? Pas totalement, en fait. Au fil des minutes, tout doucement, mais avec une grande régularité, je ressens des frissons bien agréables là où Sébastien soccupe de moi. Ça monte tant et si bien quen plus de mon buste, de mon ventre, de mes cuisses et de mon cul, mon bas-ventre commence à se réveiller. Je calcule dans ma tête : oui, jai bien éjaculé cinq fois depuis hier, et si Sébastien continue ainsi, je vais me remettre à bander. Moi qui me disais quil était un obsédé de la queue, je suis peut-être pire que lui ! Cette révélation qui se fait en moi ne fait quajouter à mon émoi : oui, cest bien ça, je commence à sentir ma queue se gonfler. Jai compris le plan de Sébastien : il va me baiser, me limer, me ramoner et menculer jusquà ce que jéjacule à nouveau. Il la fait quatre fois, il veut finir en beauté pour me soumettre définitivement. Moi qui croyais avoir échangé les rôles, je me rends compte que je nai rien inversé du tout : je suis en train de confirmer mes aptitudes à me faire sodomiser comme une belle salope. Bizarrement, cette révélation mexcite au lieu de mécurer. Sébastien a probablement repéré le changement qui sopère en moi, car il commence à me caresser la queue tout en continuant à me limer lentement, mais de plus en plus profondément. Il a trouvé la position idéale : confortablement assis, me dominant puisque je suis allongé sur le dos, sa bite plantée dans mon cul et ses deux mains libres pour mieux minstaller, mécarter ou me plier les jambes si nécessaire, me branler ou me caresser le ventre, le buste, les cuisses, les hanches,
Quelques minutes de ce traitement et le scénario se confirme : plus vite, plus profond et plus violent, comme les autres fois. On nest plus dans la douce sensualité, on est passé dans la baise virile et lubrique, dans la domination et la soumission. Ça cest fait très progressivement, mais maintenant il ny a plus de doute, Sébastien a envie de se lâcher pour de bon et je ne vois pas bien comment je vais faire pour ne pas lui donner tout ce quil veut. Si je ne veux pas me faire ramoner pendant deux heures (je len crois capable !), il va falloir que jaccède à tous ses désirs.
- « Mmmm
jaime ton petit cul serré, jadore te limer longtemps, profondément
»
- « Salaud, ten as donc jamais assez ? »
- « Mmmmm, oh, non ! »
- « Espèce de cochon lubrique ! Tas une queue en béton, ou quoi ? »
- « Cest plutôt toi, la chienne lubrique, plus je tencule, plus tu y prends goût, hein ? »
Comme je ne réponds pas, il me file des coups de reins plus violents, me serre violemment la queue dans sa main comme sil voulait me traire.
- « Hein que tu y prends goût ? »
- « Oui, oui,
jaime
»
- « Cette fois, je veux tentendre vraiment gueuler. »
- « Salaud
»
- « Je vais te défoncer le cul jusquà ce que tu jouisse comme une salope. »
Sébastien est passé à la vitesse supérieure. Il me prend parfois sous les genoux en mécartant bien les jambes, et parfois par les hanches pour senfoncer au plus profond de mon intimité. Pour mieux lui laisser les mains libres, je commence à me branler en le regardant dans les yeux et en mabandonnant à ses coups de piston. Nous avons déjà joué cette scène mais ni lun ni lautre ne semble s'en lasser. Je commence à basculer dans un état semi comateux. Je me fais littéralement défoncer mais bizarrement la douleur est parfaitement supportable car un plaisir intense me traverse le cul et le sexe et lexcitation de Sébastien est communicative. Je gémis maintenant de façon ininterrompue, je pousse des cris à chaque coup de reins, je sens une fois encore monter lorgasme chez lui comme chez moi, mais comme nous avons éjaculé plusieurs fois chacun depuis hier, ça dure, ça dure
On se croirait dans un film porno tout en fureur et en débauche, et ça nen finit pas
- « Alors, ma petite femelle, tu prends goût à la sodomie ? »
- « Aaahhh ! Oui, salaud, encore, lâche-toi, baise-moi ! »
Sébastien ma relevé le bassin et me pilonne à une vitesse vertigineuse. Je hurle des mots inintelligibles ; jai perdu toute notion de la réalité, je suis dans un autre monde, balloté par les événements, tringlé encore et encore, limé et baisé toujours plus vite, plus fort, plus profond. Je crois que ça y est : jai un orgasme d'un genre nouveau qui menvahit (ce ne serait pas ça, l'orgasme prostatique ?), je jouis de façon continue, mais je narrête pas pour autant de me branler car ça décuple mon plaisir qui me fait perdre encore plus le contrôle de la situation. Maintenant je suis définitivement une salope qui gueule de plaisir et qui sabandonne totalement, qui jouit sans discontinuer. Sébastien continue son rythme denfer (mais comment fait-il, il est dopé ou quoi ?) et lui aussi semble dans un monde à part. Un bon salaud qui ramone et pistonne et profite de ma passivité. Et puis, au bout dune éternité, je craque le premier dans un double orgasme dévastateur, je gueule en éjaculant sur mon ventre, je secoue la tête dun côté à lautre, je suis agité de spasmes incontrôlables.
- « Aaahhhhhh ! Salaud ! Tu mas eu !
. Je jouiiiiiiiiiis !
Aaaahhhhhh !»
Sébastien nen a pas fini avec moi et il continue de me limer toujours aussi vite. Il ne doit pas être loin déjaculer mais il ny est pas encore, alors il me pilonne encore et encore. Je ne suis plus que sa chose, son jouet. Bizarrement, bien quayant éjaculé, je continue à jouir pendant quil me lime. La sensation est moins violente, mais profonde (c'est la cas de le dire !), diffuse et merveilleusement agréable. Je reprends mon souffle mais me laisse aussi aller au traitement que Sébastien minflige. Ses coups de pistons à répétition saccélèrent encore, je crois quon est prêts de la fin, Sébastien grogne, halète et pousse des râles de plaisir. Il est au bout et ça se voit, ça se sent, ça sentend.
- « Ouaiiis, je vais tengrosser, tu vas voir
. Ça vient,
. Salope
. Aaaaahhhhhhhh
. »
Sébastien se bloque contre moi, simmobilise dans un cri qui nen finit pas et se vide dans mon cul. Son orgasme semble aussi violent que le mien, il reste ainsi sans bouger pendant de longues secondes avant de reprendre ses esprits. Il commence alors à récupérer, à retrouver son souffle, puis, très progressivement, je sens son sexe perdre de sa rigidité. Petit à petit, la situation redevient « normale ». Sébastien se retire de moi, puis sallonge sur le dos. Nous ne parlons pas, nous ne savons que dire. Nous sommes tous les deux un peu gênés malgré tout, conscients de nous être sacrément lâchés. Le retour à la vie ordinaire va prendre du temps. Quant à moi, je sens que cette expérience va me faire voir les choses dun il nouveau. Noublions pas que je suis hétérosexuel
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